Au Sanctuaire marial de Schoenstatt pour la paix et la réconciliation de Mont Sion Gikungu, ont été octroyés des enseignements sur la saint Valentin pendant deux jours consécutifs, le jeudi et le vendredi, 08 et 09 février, à l’endroit des jeunes pratiquant l’apostolat au Mont Sion Gikungu. Le premier jour, ces enseignements ont été dispensés par l’Abbé Georges NIYONKURU, Frère de la famille des Apôtres du Bon Pasteur et de la Reine du Cénacle. La parole de Dieu qui a soutenu les enseignements a été tirée du livre de Ben Sira le Sage (42, 9-11).
Après la lecture de la parole de Dieu, le prédicateur a procédé à son enseignement qui portait sur les méthodes contraceptives dont spécifiquement l’Implant, le DIU (dispositif intra-utérin), la Pilule contraceptive, la Pilule du lendemain, la Ligature des trompes (chez la femme) ou la Vasectomie (chez l’homme), le Préservatif et l’Injection. Il enseignait par la méthode interrogative, donc il utilisait le questionnement qui faisait qu’il y ait un feed-back permanent entre les auditeurs et l’orateur.
Après avoir posé des questions sur chaque point, l’orateur faisait une synthèse établissant les conséquences néfastes de l’usage des méthodes contraceptives non seulement sur la vie humaine et la vie spirituelle mais aussi sur la vie des foyers en devenir. Et de continuer que par la mondialisation, les jeunes surtout perdent au fur et à mesure leurs valeurs, ce qui fait que les parents se préoccupent davantage.
Les méthodes ci haut-citées, nous éloignent du vrai amour de Dieu et de nos partenaires, puisqu’il se constate des foyers qui se détruisent par suite des conséquences de l’usage des méthodes contraceptives pendant la jeunesse. Alors, les jeunes sont sensibilisés à éviter rigoureusement tout ce qui détruit la dignité du corps et de l’âme, a-t-il insisté, afin que quand un père regarde sa fille soit assuré que pendant qu’elle est encore jeune, elle ne risque pas de laisser passer son heure ; encore vierge, elle ne risque pas de perdre sa virginité et de tomber enceinte dans la maison paternelle ; unie à un mari, elle ne risque pas de lui devenir odieuse ou de lui être infidèle, et ou rester stérile après leur union. De même, que le monde et l’Eglise puissent jouir des familles remplies de bonheur et du vrai amour. Que la paix du Christ soit toujours avec vous, a-t-il conclu.